Trois jeunes artistes célèbrent la fluidité, la substance, les mouvements de l’air et de l’eau, éléments structurants s’il en est des lieux et parcours de l’homme. Elles se réunissent en référence au corpus hippocratique fondateur de l’écologie humaine née sur l’ïle de Cos. Et par elles la nature éphémère, mouvante et vibrante est contemplée, analysée, magnifiée : ciel, mer, rivière et fleuve. Trois dialogues singuliers et intimes avec les éléments, contemplations narratives, engagements sensibles, cartographies de territoires parcourus, utilisant peintures, lavis et photos. « L’éphémère n’est pas le temps mais sa vibration devenue sensible » écrit Christine Buci-Glucksmann à propos de l’une d’entre elles.
Samedi 28 : Décrochage de l’expo Airs, eaux et lieux, avec les oeuvres de Christine Jean, Anne Commet et Emmélie Adilon
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