Les prochaines expositions à la Praye

, par jacques

Voici la suite du programme de l’année 2013 :

Du 1er au 29 juin
INSIGHTS
ALL+INAMARU+DIDELOT+CAMBON
Quatre photographes plasticiens de grand talent nous promènent entre le rêve et la réalité. Rencontre surprise de la technique la plus avancée et de la poésie la plus pure.

Début Juillet (date à préciser)
MEDITERRANEES
SERGE PLAGNOL
"Le sud, c’est-à-dire la lumière, le paganisme, la sensualité" en résonance avec Cézanne, Picasso et Matisse. Expositions combinées du grand artiste du soleil à Paris, Lyon, Marseille et au Havre, en partenariat avec la revue Area.

Du 7septembre au 2 octobre
AIRS, EAUX et LIEUX
ADILON+COMMET+JEAN
Trois jeunes artistes célèbrent « la fluidité, la substance, les mouvements » de l’air et de l’eau, éléments structurants s’il en est des lieux et parcours de l’homme. Elles se réunissent en référence au corpus hippocratique fondateur de l’écologie humaine. Et par elles la nature éphémère, mouvante et vibrante est contemplée, analysée, magnifiée : ciel, mer, rivière et fleuve. Trois dialogues singuliers et intimes avec les éléments, contemplations narratives, engagements sensibles, cartographies de territoires parcourus, utilisant peintures, lavis et photos. « L’éphémère n’est pas le temps mais sa vibration devenue sensible » écrit Christine Buci-Glucksmann à propos de l’une d’entre elles.

Du 5 octobre au 2 novembre
ARCHITECTURES SENSIBLES
PIERRE RIBA + PIERRE SOUCHAUD
Pierre Riba, créateur d’architectures poétiques, « coupe, use et détourne le destin du carton ». Il vit et travaille dans le Gard et en Espagne. Pierre Souchaud, peintre et éditeur, expérimente librement purs volumes et surfaces à la géométrie transgressive. Il vit et travaille à Lyon depuis 1996. L’un et l’autre présente leurs œuvres récentes à la Collection de la Praye. « Il existe entre eux une complémentarité ou une connivence, dans cette façon qu’ils ont en commun de mettre en forme et d’architecturer une même pensée sensible du monde. Le vocabulaire plastique y est minimal, pour que se conjuguent au mieux la tension des formes, la rigueur de la construction et la densité de l’inscription matérielle et corporelle. Un même jeu assurément entre la matière et le rêve, le statique et le dynamique, le pesant et l’aérien, le corps et l’esprit, la terre et le ciel… Une même quête de l’instant de grâce d’un miracle spatial et humain » (Martin Rey).